LA TECHNOLOGIE DU NUMERIQUE, UN DANGER POUR LES ENFANTS…
Les
technologies Internet ont fait leur entrée au sein des familles depuis le
milieu des années 1990 trouvant des utilisateurs parmi les adolescents. Elles
sont généralement utilisées par les enfants, surtout en cette période de pandémie
de la COVID-19 où la plupart des cours se déroulaient sur internet et à la
télévision.
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Selon un
sondage de l’Unicef réalisé en 2017, la tranche d’âge la plus connecté constitue
les jeunes de 15 à 24 ans. Mais les choses ont changé en cette année 2020
marqué par la pandémie de la COVID-19 car même les écoliers utilisaient des
outils informatiques dans les ménages. L’excès des NTIC peut avoir des impacts
sur la santé des enfants parce qu’ils sont plus exposés. Ces derniers ont de
plus minces crânes et leurs cerveaux sont plus conducteurs que ceux des adultes.
Le rapport Stewart (2000) a d’ailleurs stipulé qu’un enfant de 5 ans peut
absorber environ 60% de rayonnement électromagnétique plus que les adultes.
Les
technologies sans fils tels que les téléphones portables, le Wi-Fi, les
ordinateurs portables, les tablettes, les interphones de surveillance pour bébé
entre autres sont souvent source de nombreux problèmes liés à la santé des
populations notamment celle des enfants. Parmi les dangers causés par ces
matériaux, on peut citer les troubles du sommeil, le syndrome de la vision
artificielle, le risque pour le développement cérébral du fœtus, le risque de
cancer du cerveau, mais aussi des risques considérables sur les fonctions
cognitives (effet sur la mémoire, la concentration et l’apprentissage).
Aujourd’hui,
la technologie du numérique continue a changer le monde avec le nombre
d’enfants utilisant Internet qui ne cesse de croitre d’un pays à l’autre, grâce
aux projets mis en place pour impliquer les enfants dans la technologie du
numérique en milieu scolaire.
Toutefois,
il serait également important de penser aux conséquences de ces technologies du
numérique qui, non seulement ont un impact nocif sur la santé, mais aussi sur l’environnement.
Amelia DACOSTA
Journaliste AGM
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